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 Vos hôtes,
Raphaelle et  Pierre-Hervé

Lorsque Raphaëlle et Pierre-Hervé posent les yeux sur cette belle endormie des Longrais, ils comprennent d’emblée que c’est là qu’ils vont établir leur grande famille ; au creux de ce splendide vallon imaginé par les frères Bühler, illustres paysagistes,

concepteurs du Parc du Thabor. Le génie de ces hommes de renom ? L’amour des grands paysages naturels, d’allées spacieuses et de bosquets charmants qu’ils recomposent autour des châteaux et des belles demeures familiales. C’est l’écrin du

Château des Longrais établi début du 18è siècle dans un méandre de la Chèze qui traverse le parc. Une demeure au charme envoutant, d’une délicatesse infinie, qui a conquis le cœur de la famille Naux, leurs propriétaires depuis 2018.

Avec les anciens maîtres des lieux, les Naux partagent l’amour des belles choses, la passion des pierres, l’envie de créer et la volonté de valoriser le patrimoine breton.

Comme eux, ils y ont établi leur famille, faisant résonner les murs de cris et de rires, de vie et d’amour. Il y a là Arthur, Mathilde, Gabriel et Aliette qui partagent les lieux avec les hôtes d’un jour ou d’un week-end, dans un savant mélange de vie privée et de vie

professionnelle.

Tout simplement parce que Raphaëlle et Pierre-Hervé ont fait du Domaine leur outil de travail.

Un cadre enchanté dédié au mariage, à l’abri des grands arbres, au bord des étangs, de la fraicheur du ruisseau, pour offrir le plus majestueux des décors à cette journée si

romantique.

Un ensemble parfaitement adapté à certains évènements professionnels, séminaires ou réceptions plus festives, pour une parfaite alchimie « calme et détente ».

Une splendide maison d’hôtes aux chambres raffinées, modernes et authentiques, baignées d’une douce lumière qui donne à chacune son âme si particulière. La préférée de Raphaëlle, sans hésitation : les Flamands pour sa vue et sa décoration subtile et délicate. Mais les Oiseaux, les Roses, ou les Tilleuls ont parfois les préférences des locataires des lieux. Tout est affaire de sensibilité.

Et en fil rouge entre les espaces, entre les gens qui passent ; ceux qui s’amusent ou qui travaillent, ceux qui s’aiment, ceux d’un soir ou ceux d’une semaine ; en fil noir serait d’ailleurs plus opportun ... le chat Spot, noir de la tête aux pattes. A la recherche de nouvelles caresses, d’un mot gentil ou d’un coin d’assiette. Mais toujours là, pour dire bonjour et saluer les départs. Et ce chat noir-là, soyez-en assurés, il n’apporte que le bonheur.

 

Clarisse   Moreau

La Réda’C.

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